Auteur : Lemony Snickett
Saga : Les Désastreuses aventures des Orphelins Baudelaire
Numéro de tome : 6
Genre : Jeunesse
Maison d’édition : Nathan
Nombre de pages : 213
Obtenu le 3 Mars 2013
Lu le 3 Mars 2013
Dans le cadre de poursuivre des sagas
En un mot :
- Des réflexions très drôle sur la mode par l’auteur
- Toujours une intrigue corsée
Résumé : Si tu viens de prendre ce livre, un conseil: remets-le en place. Tout comme les précédents volumes des Désastreuses Aventures, il ne contient que désastres et calamités. De quoi nourrir les pires cauchemars, si bien qu’il serait plus prudent, pendant qu’il est encore temps, de choisir une autre lecture. Au cours de cet épisode, aussi vertigineux que sombre, Violette, Klaus et Prunille Baudelaire vont affronter tour à tour un escalier obscur, un souterrain obscur, un cagibi obscur, deux cages obscures, trois initiales obscures, quatre ou cinq trompe-l’œil et impostures, sans parler d’un repas tout au saumon, ni de divers autres poissons, vrais ou faux. J’ai fait serment, pour ma part, de relater ces durs moments, afin que le public n’ignore rien des épreuves endurées par ces trois enfants, mais libre à toi, cher lecteur, d’opter pour quelque chose de moins noir. Tu y gagneras sans doute de ne pas t’endormir les yeux rouges.
Une critique très drôle de la mode par l’auteur
C’est ce qui m’a le plus fait rire et surtout le plus fait grincer dans ce tome ci. Et ce fut un réel plaisir de lecture ! Lemony Snickett va décortiquer à sa façon les personnes qui veulent être à la mode et qui veulent que leurs enfants le soient aussi, par la même occasion, loupant à cette fin volontairement leur plus grand désir. Aussi, cela nous fera réfléchir à deux fois avant d’offrir quelque chose à nos chérubins : est ce vraiment à leur goût ????
Ainsi, nous voyons une famille in qui commence à avoir des comportements plus ou moins bizarres en fonction de la mode du moment. Bien entendu, cela intrigue énormément nos orphelins qui ne savent pas du tout comment réagir face à des personnes sans personnalité aucune, refusant de discuter et surtout refusant le moindre conflit !
Une intrigue qui se corse ?
Oui, l’intrigue se corse un peu car nous nous demandons franchement si l’incendie de la maison Baudelaire a été un accident. Je ne pense pas, personnellement, aux vues des indices laissés par l’auteur. Ce qui m’inquiète donc un peu plus face aux Orphelins Beaux draps. Sinon, rien de plus que d’habitude, le Comte Olaf est toujours aussi perfides et les Orphelins commencent à réagir comme des adultes, en n’écoutant pas toujours leurs amis. Du coup, ils n’ont pas toutes les réponses à leurs mystères propres.
A voir s’ils arriveront à surmonter tout cela. Une chose est sûre, ils veulent retrouver leurs amis, au mépris de leur bien être personnel.
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