Auteur : Sophie Dabat
Saga : Sainte-Marie des Ombres
Numéro de tome : 5
Tome 0 : La cabane aux loups
Tome 1 : La brûlure de la nuit
Tome 2 : L’enfant des ténèbres
Tome 3 : L’emprise des dévorantes
Tome 4 : La voie du crépuscule
Genre : Fantasy urbaine
Maison d’édition : Bragelonne (Snark)
Nombre de pages : 462
Obtenu le : 18 Octobre 2017
Lu le : 28 Mai 2018
Dans le cadre de ma lecture commune avec Séverine
En un mot :
- Waouw !
- Mais quel final !
Résumé : Neuf mois ont passé depuis la mort de Sainte Marie des Ombres, aux multiples identités. Anne se recueille souvent sur sa tombe. Un jour, elle découvre dans un mausolée à l’abandon une jeune femme nue, enceinte, blessée et terrorisée, qui n’a ni nom, ni identité, ni passé, mais qui possède le regard de Marie. Dernier volume de la série.
Comment s’attendre à ce tome ?
Si comme moi vous avez attendu un peu pour tout lire en même temps, vous avez aussi hurlé à la fin du tome précédent et vous avez enchaîné direct avec celui-ci. Mon premeir réflexe a été d eme dire que cela ne pouvait pas reprendre de manière cohérente après cette fin. Saug que Sophie Dabat l’a fait et avec brio.
J’ai donc pris mon courage à deux mains, coupé mon souffle et j’ai lu à vitesse grand V la fin de cette saga parce que bon, Sainte Marie des ombres, c’est le grand 8 de la Fantasy urbaine. L’action, l’humour, la tendresse, le fantasstique, tout cela va vous faire faire des montagnes russes et sur un bon 500 pages.
Adieu Marie.
Et oui, la saga est terminée et elle est très bien conclue. Le final est magistral et j’avoue que je me suis sentie épuisée et vidée à la fin. L’auteure ne nous a jamais ménagées et a pris un grand plaisir à nous boxer pendant 5 tomes. Quant à moi, j’ai tout subi sans broncher et je sais que cette héroïne va garder une place dans mon coeur pendant longtemps. Ce fut un réel plaisir que de découvrir et ressentir toutes ces émotions pendant ma lecture.
En bref, adieu Marie. Merci d’avoir partagé cette vie passionnate avec nous. Elle ne fut pas idéale mais tu nous a montré qu’avec un rien et énormément de volonté, on pouvait toutes êtres des héroïnes. Et c’est bien cela le message à retenir. Il en faudrait plus des sagas comme la tienne.
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