Auteur | Mélanie Gaujon |
Saga | Le Royaume d’Esiah |
Numéro de tome | 1 |
Genre | Fantasy |
Maison d’édition | France Loisirs |
Nombre de pages | 563 |
Obtenu le | 31/11/2018 |
Lu le | 07/11/2018 |
Dans le cadre de | Ma lecture commune avec Séverine |
En un mot | Un début de saga vraiment sympa J’ai hâte de lire la suite |
Résumé : Dans le royaume d’Esiah cohabitent les natifs et les âmes damnées venues du monde des Mortels. Lors d’une épidémie, le prince héritier Lucifel croise la route de Milo, un petit garçon. À son cou, une pierre rouge qui semble l’appeler. Leur rencontre marque le début d’une palpitante épopée au cœur des secrets enfouis du royaume…
Un roman que je pensais classique en son genre
Séverine a le chic de passer du coq à l’âne en matière de lecture, comme vous avez pu le voir hier. Et comme on a lu ensemble, forcément nous sommes passé du témoignage à la découverte d’une auteur de fantasy française. Et je ne vous cacherai rien mais j’étais à deux doigts de dire non parce que sérieux : ça a l’air d’être du fantasy pur et dur, classique de chez classique.
En effet, on a un orphelin qui a un grand pouvoir. Il se trouve qu’il se fait recueillir par un mage qui en fait est le fils du Roi. Ces deux là vont s’apprivoiser et comme il manque une mère dans le tableau classique, le fils du roi va trouver une nana qui va l’aimer pour lui et pour le gamin aussi
Mais il a son petit truc.
Je vous avais dit que c’était un classique. Et clairement, je n’étais pas certaine d’avoir envie de ce genre au moment de commencer le roman. C’était tout de même sans compte sur l’autrice qui avait décidé de bien écrire ce romane en poussant sur la psychologie des personnages et en insistant bien sur l’intrigue.
Le résultat ne sera pas un coup de cœur ni une révélation. Mais j’ai passé un excellent moment avec ce premier roman. Je conseillerai aussi ce livre à ceux qui veulent découvrir la fantasy car tout est dedans. C’est donc une très bonne découverte et j’ai même envie de vous dire que c’est parfois dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes. Et c’est ce que nous montre l’autrice en maîtrisant bien le sujet.
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