Auteur | James Herbert |
Saga | |
Numéro de tome | |
Genre | Fantastique |
Maison d’édition | Milady |
Nombre de pages | 762 |
Obtenu le | 19 Octobre 2012 |
Lu le | 23 Mars 2020 |
Dans le cadre de | Lire sa vieille PAL |
En un mot | Un livre sans surprise |

Résumé : Crickley Hall : une vieille demeure comme on n’en trouve que dans les régions reculées de l’Angleterre. Vaste et sinistre, elle a même l’air un peu menaçant.
Lorsque Gabe et Eve Caleigh viennent s’y installer avec leurs deux petites filles, ils espèrent y trouver la paix, et tourner la page sur le terrible malheur qui a frappé leur famille.
Mais quelque chose ne va pas… Bientôt des bruits inexplicables les arrachent au sommeil. Les enfants sont les seuls témoins d’étranges apparitions. Et, chaque matin, la porte de la cave est entrouverte alors qu on l’avait fermé la veille.
Cette maison est le dernier endroit que les Caleigh auraient dû choisir. L’horreur qui les y attend dépasse tout ce qu ils pouvaient imaginer.
Oserez-vous affronter le terrifiant secret de Crickley Hall ?
On part sur un livre classique de James Herbert
James Herbert ! Autant c’était un auteur que j’adorais quand j’étais adolescente, autant je trouve maintenant que c’est un auteur qui a beaucoup de mal à se recycler. Ce sont des livres dits d’épouvante, souvent avec des fantômes et le déroulement se passe à peu près pareil à chaque fois. Une maison ou un lieu comme un hôpital, un arbre, que sais-je, subit un évènement horrible et affreux. Depuis, le lieu est hanté et tout le monde le fuit. Et là, quelqu’un ou une famille tente quand même d’y aller (alors que tout le monde lui dit que c’est mort) et donc fatalement, il va se passer des trucs. Après une période de déni et les manifestations devenant de plus en plus menaçantes, les personnes vont se battre plutôt que de partir et on va avancer tranquillement vers la résolution du roman.
Les romans de James Herbert, ce ne sont pas des romans innovants. Et j’ai envie de vous dire, c’est ce n’est pas ce qu’on leur demande C’est comme d’aller voir un film d’horreur : on y va pour frissonner. Ici, c’est pareil : on y lit un James Herbert pour une histoire classique de fantômes. On sait quand on va avoir peur et c’est très bien comme cela. Ses livres, j’en ai à la pelle pour passer un trajet ou pour ne pas me prendre la tête en week end. Tout simplement. Si j’avais envie d’innover, je me tournerai vers un autre auteur.
Un livre qui ne vous surprendra pas : à ne lire que pour les vacances.
C’est clair qu’il ne faut pas se faire la bibliographie de l’auteur d’un coup, cela vous refilera des boutons. Personnellement, je n’en fait qu’un ou deux par an sinon je suis vite agacée. Par exemple, l’auteur met beaucoup d’information entre parenthèses. Et cela m’énerve carrément. Pour moi, c’est une facilité scénaristique et cela ne devrait pas apparaître dans un livre. Ou du mois, pas une fois par page. Surtout que ces parenthèses ne servent pas vraiment à l’intrigue. Cela me donne tout simplement une impression de remplissage et cela me casse le rythme. Cela dit, je vous l’accorde, ce n’est qu’un point de vue personnel.
En bref, voilà un roman qui ne vous surprendra pas. Cela dit, si vous ne voulez pas vous prendre la tête et vous occuper une soirée ou deux, c’est le bon plan. Surtout qu’ils sont en poche maintenant depuis une belle lurette !
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