Auteur | Elizabeth Chandler |
Saga | Le baiser de l’ange |
Numéro de tome | 1 |
Genre | Jeunesse, fantastique |
Maison d’édition | Le livre de poche |
Nombre de pages | 232 |
Obtenu le | 20 Octobre 2012 |
Lu le | 21 Avril 2020 |
Dans le cadre de | Lire ses vieux coucous |
En un mot | Et bien je ne lirai pas la suite Livre qui a eu le bon goût d’être court |

Résumé : Ivy adore les anges. Elle croit plus que tout à leur existence et collectionne les petites statuettes qui les représentent. Tristan, le garçon le plus adulé du lycée est fou amoureux d’elle, et elle partage ses sentiments. Mais lorsque le destin les frappe violemment, Ivy perd la foi. Et sans cette foi, elle ne peut voir que son ange gardien veille sur elle et tente de l’avertir que le danger rôde…
L’exemple parfait du genre de livre que tu achètes par mimétisme.
Je vous rappelle les faits : 2012, j’étais très mal dans ma peau, je m’étais offert ma première liseuse et je découvre la sphère booktube. Autant vous dire qu’en matière d’achats, ne me connaissant plus moi-même et découvrant de toutes nouvelles choses, ce fut du rand n’importe quoi. C’est amusant un peu aujourd’hui car je l’appelle la très vieille PAL. Et il y a de ces titres dedans qui ne me correspondent absolument pas ce qui peut faire croire que j’étais beurrée comme un petit lu au moment du fameux clic. Rassurez-vous, on l’écume cette très vieille PAL et promis, je ne vous déterre que les pire actuellement entre quelques nouveautés.
Revenons à cette saga : le baiser de l’ange dont je ne possède que le premier tome et non je ne reprendrai pas la suite. C’était la période fantastique à plumes donc on a une histoire avec des anges. Et en prime, c’est un roman jeunesse donc pour les codes de l’époque, c’est un roman d’amour avec des anges.
Et c’est bien pour cela que j’ai cessé cette pratique.
Autant vous dire que côté intrigue, ce ne fut pas l’éclate. Absolument tout était prévisible, même la mythologie fut brève. Autant vous le dire : je ne poursuivrai pas cette saga et je l’oublierai sûrement très vite. Mauvais roman alors ? Non. Il est très moyen selon mes critères personnels mais rendons à César ce qui est à César, je n’ai pas passé une mauvaise soirée en le lisant. Absolument pas !
Ce livre est pas mal pour une soirée popcorn lecture et il ne faut pas avoir honte de ce genre de lecture. Il est facile d’accès et se lit en quelques heures. Comme je le répète, je n’ai pas vocation non plus de ne lire que des grands prix de l’imaginaire. J’ai eu des romans qui m’ont énervée tellement ils étaient mal écrits et ici ce fut tout sauf le cas. Mon seul reproche est son manque de consistance. Ce qui en fait un bon candidat pour une soirée légère.
En bref, si vous tombez dessus et que vous avez besoin de vous reposer, prenez le IL fera le job tant que vous ne vous attendez pas à un chef d’œuvre.
Votre commentaire