Auteur | Brian Stableford |
Saga | |
Numéro de tome | |
Genre | Fantastique, Fantasy |
Maison d’édition | Les saisons de l’Etrange |
Nombre de pages | 234 |
Obtenu le | 12 Mars 2020 |
Lu le | 19 Mai 2020 |
Dans le cadre de | Une envie de Lovecraft Universe ? |
En un mot | Lecture sympa Mais sans plus |
Résumé : Quinze ans après la célèbre nouvelle de Lovecraft, le violon et les compositions maudites d’Erich Zann font l’objet de toutes les convoitises. Le grand détective Charles Auguste Dupin est le seul à savoir pourquoi, et à pouvoir s’y opposer. Rendu fameux sous la plume d’Edgar Allan Poe, Dupin enquête également de nouveau sur Ernest Valdemar, dont le corps a disparu : le comte de Saint-Germain est-il impliqué, et pourquoi Balzac, à l’article de la mort, s’y intéresse-t-il ?
J’avais envie d’un peu d’univers de Lovecraft
Et comme j’avais décidé de lire des trucs un peu plus récent de ma PAL, je suis tombée sur ces deux nouvelles : le testament d’Erich Zann et la Fille de Valdemar. Le testament d’Eric Zann est la suite d’une des nouvelles de Lovecraft et si je ne me trompe pas, je ne l’ai pas lu mais d’après ce que j’ai compris, on est là dans une version lovecraftienne du portrait de Dorian Gray. En gros, un artiste voulait être très doué au violon et il a fait un pacte avec une créature bizarre ce qu’il fait que son violon peut anéantir le monde. Narmol pour du Lovecraft. Mais pourquoi donc faire une suite à cette œuvre ?
Tout simplement parce que si Eric Zann est mort, son violon a disparu. Et le voilà qu’il réapparait de manière un peu impromptue et flippante. Deux enquêteurs ayant participé à l’affaire sont aussi de retour : Charles Auguste Dupin qui vient directement d’une nouvelle d’Edgar Allan Poe et on lui a affublé un ami friand de mystères qui fera son côté Watson. Nous avons donc un roman, ou plutôt une novella qui a pour objectif de rendre hommage à Sherlock mais aussi aux mystères de Paris et enfin à Lovecraft. Ce mélange prend mais il ne fait pas sensation et cela se concrétisera pour la seconde novella
La fille qui fuit à longueur de temps
La seconde Novella, on retrouve les deux compères jusqu’à ce qu’une dame va chez eux, leur demande audience et s’évanouit. Tout cela pour les amener à enquêter pour un truc surnaturel of course. L’amorce de l’enquête est énorme et pas du tout discrète. Alors vous allez me dire que je n’ai pas du tout aimé le roman. Mais si ! J’étais dans un excellent contexte : un week end seule sans enfants, un chat sur les genoux avec une couverture en coton (il faisait chaud). Il me manquait que le bruit d’un feu de cheminée et un disque de jazz et là j’aurai vécu un moment parfait. Ce qui m’apprendra à lire hors saison vous allez me dire !
Le plus important à retenir c’est qu’il ne faut pas prendre ces deux histoires comme quelque chose qui va vous révolutionner la littérature. Ce sont des histoires hommages qui sont là pour vous faire découvrir un certain style de littérature. Donc si vous avez envie de vous jeter dans ce genre de littérature, c’est le moment de tester avec celui-là. Si vous voyez que vous ne vous êtes pas trop ennuyé, voire que vous avez apprécié les figures de style et l’enquête, procurez-vous les auteurs dont il s’est inspiré et vous avez vos lectures de l’hiver.
Je ne connais pas mais ce résumé me tente quand même 🤣 pour la suite. Il faut donc que je decouvre et lise d’abord la 1ère partie.
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